| | Bryan William Alexis Hartford | |
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Bryan Hartford Le Chasseur de Perfection
Nombre de messages : 257 Age : 32 Âge : 19 ans Date d'inscription : 13/02/2009
Because You Are You Culpabilité: (100/100) Crime: Tentative de viol sur une blonde Relationship ,,:
| Sujet: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 6:22 | |
| « First of all, who am I ? »NOM : Hartford PRÉNOM : Bryan William Alexis ÂGE : 19 ans SEXE : Masculin ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel ORIGINES : Américain DATE DE NAISSANCE : 2 novembre VILLE DE NAISSANCE : New York « Don’t you want the juicy details ? »PHYSIQUE : Bryan a un physique quelque peu normal. Il est un peu plus petit que la moyenne des gars, moins développé niveau musculature et il a une démarche pour le moins inusité. Vous avez vu le Bossu de Notre-Dame? Hé bien il a un peu sa démarche, traînant des pieds et la tête basse et les mains constamment dans les poches. Si vous ne le voyez pas dans cette position, c'est qu'il est assis à même le sol ou sur une chaise, les genoux relevés, en train de réfléchir à l'existence humaine. Ses cheveux bruns sont souvent en bataille et son visage n'est pas parfait. Une tache de naissance se situe sur sa joue gauche et il a souvent une barbe de quelques jours. Par contre, ce qui frappe le plus ce sont ses yeux. Des yeux pers d'une intensité frappante, mais pourtant si vides d'expression qu'ils font presque peur. Ses yeux ont un effet quasi-magnétique par leur mystère qui en dégage, tant que certains craignent son regard de peur de s'y sentir complètement aspiré. Ils n'ont pas à s'inquiéter à ce sujet, Bryan n'est pas du genre à regarder les gens dans les yeux, seulement lorsqu'il s'y sent obligé (lorsque la personne est devant lui, par exemple). Niveau vestimentaire, il porte ce qu’il trouve, que ça lui plaise bien ou non. Bryan a néanmoins un faible pour les chapeaux, les chandails noirs, les jeans amples ou normaux, les souliers de sport et les vestes. Niveau couleur, le foncé l'attire, probablement pour le simple fait de vouloir contraster avec les autres, mais il lui arrive aussi de porter du vert forêt ou du bleu. Si on devait donner un nom à ce style, je dirais qu'il s'agit d'un mélange entre le gothique et le décontracté. "GothDecontract'", quoi. Avec un petit soupçon de punk, puisqu'il arrive à Bryan de mettre une chaîne autour de son cou, mais c'est lors de rares occasions.
PSYCHOLOGIE : Les psychologues diront de ce garçon qu’il est un personnage étrange et renfermé sur lui-même n’aimant pas la compagnie des autres, avec des tendances sexuelles violentes et kleptomane par-dessus le marché. Certains faits sont vrais, d’autres non. Oui, Hartford est étrange car il réfléchit différemment des autres. Oui, c’est un être renfermé qui ne parle pas avec n’importe qui : seuls ceux qui méritent son entière confiance et qui le comprennent peuvent lui adresser la parole sans se faire rembarrer, mais jusqu’à ce jour ça ne s’est jamais vu. Oui, il n’aime pas la compagnie des autres car ils ne le comprennent pas, ils vivent leur vie tranquillement sans se soucier de toute la misère du monde, chose qui dégoûte le jeune homme. Non, il n'est pas un manique sexuel: en fait, le sexe ne l'intéresse pas vraiment. Il préfère passer ses nuits à réfléchir sur l'existence humaine plutôt que de baiser avec n'importe qui. Il a violé des filles, oui, mais pas dans le but de s'amuser. Non, Bryan n’est pas du tout violent : il agit parce qu’il doit le faire, pas parce qu’il aime le faire. La vue du sang l’indiffère totalement, la douleur également. Ses yeux ne reflètent rien, à part peut-être un peu de pitié pour ces êtres stupides que sont les hommes, et son attitude porte à croire qu’il est autiste. Faux, bien sûr. Mais remarque, on est sûr de rien avec Bryan William Alexis Hartford. Et non, il n’est pas kleptomane. Il volait pour vivre, et non par instinct.
HISTOIRE : Une pilule. Toute cette histoire commença avec cette seule et unique pilule. Sarah Hartford la vit lorsqu'elle entra dans sa maison, revenue de chez un de ses clients. La pilule était sagement posée sur la table, n'attendant que d'être avalée. Mais Sarah - qui à l'époque exerçait le plus vieux métier du monde - ne fit pas attention à cette pilule et alla directement se coucher, son client étant un peu sado il était comprenable qu'elle souffrait de partout, alors elle n'avait aucune énergie pour prendre une foutue pilule! Ce ne fut que quelques semaines plus tard qu'elle regretta de ne pas avoir prise cette pilule en question. En fait, elle regretta le jour ou elle découvrit qu'elle était enceinte. Panique totale! Elle qui n'avait pas assez d'argent pour s'occuper d'elle, imaginez-là s'occuper en plus d'un bébé! C'était vraiment impensable! Sa première réaction fut d'appeler sa soeur, qui était infirmière et qui pourrait l'avorter. Mais sa soeur refusa. "Écoute, c'est beaucoup trop dangereux, je serais incapable de t'avorter! Et si je ratais tout? Tu pourrais en mourir, tu sais! Et ce même avec les technologies d'aujourd'hui!" fut la réponse de la soeur cadette de Sarah. Mais elle lui proposa une aide financière, ce qui n'était pas à négliger dans une telle situation! Elle l'aidait à payer les affaires pour bébé à condition que Sarah fasse le ménage chez elle. Comment refuser une pareille offre? Après huit mois et quelques de ménage chez la soeur de Sarah, celle-ci put enfin accoucher et se débarrasser de ce ventre qui l'empêchait de travailler. Au début la prostituée pensa le faire adopter et utiliser l'argent pour s'acheter quelques meubles, mais en voyant le visage du petit poupon qui se trouvait dans ses bras, elle ne put se résigner à l'abandonner dans ce monde sans pitié. Sarah appela son premier - et seul - enfant Bryan William Alexis Terson, le laissa à sa soeur pour qu'elle le nettoie et s'endormit aussitôt, ignorant à quel point cette naissance allait changer des vies complètes. Bryan passa une enfance calme. Enfin, calme pour quelqu'un venant du ghetto. Comme il était trop petit pour faire quoi que ce soit- il n'avait qu'un ou deux ans à l'époque -, Sarah demanda à sa soeur de s'occuper de lui en attendant qu'il soit en âge de ramener de l'argent à la maison. La soeur en question accepta bien sûr, mais elle lui rendrait le jour de ses neuf ans sans faute. Ce fut la soeur de Sarah - appelons-là Jeanne - qui lui apprit à parler, à marcher, à lire et à écrire. En fait, les bases pour tout être humain. Étant infirmière, elle lui apprit aussi à éviter le danger en regardant des deux côtés de la rue avant de traverser, d'éviter de toucher à la drogue et à l'alcool et de ne pas voler ni tuer. De cette deuxième partie, Alexis n'avait rien retenu des recommandations de sa tante. En fait, il s'en rappelait toujours, mais tout s'était dissipé à son retour chez sa mère le jour de ses neuf ans. Bryan n'alla pas à l'école. Tiens, ça ne vous étonne pas? Vous ne voulez pas savoir pourquoi? Je vais vous le dire quand même: sa mère avait besoin de lui pour trouver de l'argent. Parce que s'occuper de faire manger deux personnes avec un salaire de prostituée, ça va mal. C'est pourquoi tous les matins, le petit garçon se postait dans une rue passante au Times Square, surveillait les personnes avec les plus beaux habits et les arrêtait pour demander la charité. Certains donnaient de l'argent à ce pauvre petit tout sale et tout peiné, mais d'autres passaient leur chemin en le regardant d'un air dédaigneux. Dans ce cas-là, Hartford se contentait de leur voler leur porte-feuille lorsqu'ils avaient le dos tourné. Et une fois le soir venu, il revenait tranquillement à la maison avec son butin du jour et le montrait fièrement à sa mère qui lui tapotait la tête en signe de remerciement. N'oublions pas que Bryan ne prenait pas souvent de douche, donc il n'était pas question de le toucher davantage! Puis vint l'adolescence. Ah, l'adolescence! Qui ne voudrait pas passer cette dure étape de la vie? Bryan, lui, aurait tout donné pour avoir passé cette étape loin des ghettos! S'il avait été un enfant 'normal', il aurait eu au moins un travail convenable, peut-être des amis et à la limite une petite amie. À la place, Hartford continuait de piller les gens, devenait hostile dès que quelqu'un désirait lui engager la conversation et n'avait jamais aimé. Exception faite d'Hilary. Hilary Harrison. Un nom purement bourgeois. En un regard, elle était devenue la réincarnation de la beauté pour le jeune Bryan. Propre de la tête aux pieds, un visage heureux, des jolies pomettes, des yeux bleus ciel, des cheveux blonds platine, une silhouette fragile et mince... Une déesse! Mais comme toute déesse, Hilary était intouchable. La première fois qu'il l'avait vu, Bryan était à son poste de travail et regardait les gens passer avec ses yeux de merlan frit, question de faire pitié. Mais son visage changea aussitôt pour faire place à l'admiration lorsqu'Elle passa. Elle était avec son père, un homme austère qui ne voulait jamais lui donner de l'argent et que Bry’ adorait exaspérer pour ensuite tout lui voler une fois le dos tourné. Ce jour-là par contre, l'ado n'avait plus envie de voler quoi que ce soit. Seulement le coeur de la belle, qui elle le regardait plus avec dégoût et pitié. Ce regard-là, Bryan en rêvait encore. Mais le père, qui voyait bien que l'itinérant du coin regardait de trop près sa fille, prit celle-ci par le bras et l'emmena plus loin. C'était la dernière fois qu'il l'a voyait, et pourtant il pourrait encore aujourd'hui vous raconter en détails à quoi elle ressemblait. Et ce fut le coeur en peine et les poches vides que Bryan entra à la maison. Évidemment, Sarah avait vu que quelque chose avait empêché son fils de travailler convenablement, et à cet âge la seule chose qui avait le pouvoir de faire ça était l'amour. Horrifiée et exaspérée de voir Bryan dans cet état rêveur et mélancolique, et en bonne mère qu'elle était, Sarah lui fit essayer l'alcool et la drogue. "Ça peut effacer tous tes moments tristes en quelques instants, Harty! Regarde-moi aller, et fais-le à ton tour. Tu verras, c'est magique!" lui avait-elle dit avant d'allumer son mégot aux vertues médicinales. Ensuite? Disons simplement que Bryan ne s'en souvient plus. Bien que la drogue avait en partie aidé à oublier Hilary, son visage et son dégoût envers lui restaient toujours encré dans sa mémoire, et tenter de l’effacer complètement de ses souvenirs était quasi-impossible. Il fallait qu’il fasse quelque chose, ou il allait devenir complètement cinglé. Quelques mois plus tard, à son poste habituel de travail, Hartford continuait son métier de mendiant lorsqu’un groupe de jeunes filles de son âge passèrent devant lui, ricanant à sa simple vue. L’une d’elles était blonde et lui rappela sa chère Hilary Harrison ; elle devait payer. Comment ? Il n’en avait aucune idée, mais elle devait payer. Pour être jolie, blonde et riche, alors que lui était pauvre et moche. L’injustice était trop grande. Bryan se leva donc de son poste et suivit subtilement le petit groupe, regardant leurs allées et venues sur Times Square et épiant leurs moindres faits et gestes la journée durant. Vers dix-neuf heures, le groupe se sépara et la blonde se dirigea seule chez elle, ignorant qu’elle avait été suivie et que Bryan se trouvait toujours à quelques mètres d’elle. Finalement, au croisement d’une rue, Hartford passa à l’attaque ; il mit sa main devant sa bouche et maintint solidement ses cheveux pour éviter qu’elle ne s’échappe et il l’entraîna plus loin, dans une ruelle plus sombre. Là, il se contenta simplement de la violer et de lui voler tout son argent avant de s’enfuir chez lui. Il n’avait pas trop aimé l’expérience – il était quand même puceau -, mais Bryan l’avait uniquement fait pour la traumatiser, revenir avec de l’argent en poche et salir son image de blonde parfaite. L’attirance n’a jamais été présente et cette expérience lui a seulement montré la répugnance que les être humains pouvaient faire entre eux pour une simple question de vengeance personnelle. De retour à la maison, l’adolescent de 16 ans s’était contenté de donner l’argent à sa mère et s’était enfermé dans sa chambre consommer un peu de drogues pour le calmer. Il n’était pas vraiment friand de ces substances, mais elles lui permettaient d’oublier son existence merdique, ce qui était très positif en soi. En deux ans, Bryan William Alexis Hartford a volé et violé un total de six femmes, toutes blondes et riches âgées entre quinze et dix-neuf ans. Pour le moment, aucune n’avait portée plainte et c’était tant mieux : Bryan ne cachait pas son visage et elles reconnaissaient le mendiant qui se postait toujours à la même place, aux mêmes heures. Celle qui donna le plus de fil à retordre, par contre, fut la septième. Donna Kathleen Newton, une jeune étudiante de dix-sept ans qui avait suivi des cours d’arts martiaux, au grand malheur de Bryan qui ignorait ce détail jusqu’au 18 avril. Âgé de dix-huit ans, le mendiant l’avait vite remarqué, comme ses autres victimes, en train de se promener sur le Times Square avec ses vêtements de marque et son air dédaigneux. Il l’avait vite suivie et quelques heures plus tard, avait fait la même méthode qu’avec celles d’avant. Mais Donna avait vite réagi et avait frappé son agresseur avec d’abord sa sacoche, puis avec ses poings. Surpris par cette réaction, Bryan l’a laissée filée. Mais elle était allée porter plainte, et la police a vite identifié et emmené en interrogatoire le jeune mendiant la semaine suivante. Hartford avoua bien vite que son but premier était de la violer, mais ne parla pas des autres victimes : c’était en fait complètement inutile et ça aurait aggravé son cas. En janvier, Bryan fut convoqué en Cour de Justice ou on le jugea immature avec une légère tendance autiste : inoffensif pour la société, en somme, mais il devait être admis dans un centre spécialisé pour le « guérir », en quelque sorte. C’est comme ça qu’il fut envoyé dans ce fameux programme à New Jersey, et ou il risquerait d’y rester pendant un bon moment…
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| | | Bryan Hartford Le Chasseur de Perfection
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| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 6:23 | |
| « Should I put it in a short way ? »VOUS ÊTES DONC ICI PARCE QUE : J’ai voulu violer une fille de dix-sept ans. Mais elle était blonde, comprenez-vous ? Blonde ! VOS PETITS SECRETS : Je prend de la drogue de temps à autres : rien de bien grave, si j’en ai sous la main j’en profite, c’est tout. ET VOTRE PLUS GRAND : J’ai volée et violé six filles avant de vouloir m’attaquer à ma septième victime : je ne regrette rien. « And will I tell you who I really am ? »AVATAR : Jamie Bell^^ PSEUDO & NOM : Camille, Camou pour les intimes^^ AGE : 17 ans EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
Avez-vous déjà eu l'étrange impression que la journée n'allait pas être comme les autres juste en entrant dans votre bureau? Un genre de frisson qui traversait ton corps entier dès le contact avec la poignée de porte? Ton insctint qui se réveillait, te menaçant d'un danger ou d'une surprise imminente qui allait complètement changer le cours de la journée? Hé bien cette impression, je l'avais senti ce matin-là, et il me m'avait décidément pas trompé.
Déjà, en arrivant dans mon espace de travail, je vis un dossier sagement installé sur mon bureau. Il semblait assez imposant et comme il y avait un message du commissaire disant que c'était urgent, je me pressai de poser mon manteau sur mon dossier de chaise et commençai ma lecture. En ouvrant le dossier, je vis une photo visiblement prise à l'insu de l'homme. C'était en pleine rue, et l'inconnu était en train de marcher, simplement, à travers les rues de Las Vegas. Son visage était flou, mais je remarquai que sa face était ravagé par une cicatrice, en particulier au niveau de l'oeil. Les pages suivantes étaient encore des photographies du jeune homme, cette fois plus visibles et on distinguait très bien le visage ainsi que l'étrange cicatrice à son oeil gauche. Après les photos de l'inconnu suivirent des photos de voitures, de yachts, de différents emplacements à Las Vegas ou on pouvait le trouver - sur la plupart des photographies on le distinguait en arrière-plan. Finalement je tombai sur le dossier judiciaire de l'inconnu, et qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant le nom de l'homme que je regardai en photo depuis quelques minutes: Lorenzaccio Manzoni, le Don italien de la Cosa Nostra. J'ai failli tomber de ma chaise, ça n'était pas compliqué! Après ce léger choc, je me demandai aussitôt pourquoi ce dossier ne s'était pas trouvé sur les bureaux du FBI. Il s'agissait quand même du grand chef des ritals, ce n'était pas un simple voleur de voiture qui désirait se faire accepter par un gang, ni une prostituée en quête d'argent qui avait des problèmes de consommation. Ce dossier aurait aussi bien pu se trouver entre les mains des chasseurs de primes, mais cette idée ne me plaisait pas trop; qui sait dans quel état trouverait-on la Don après? Il n'aurait pas que sa cicatrice qui gâcherait son visage, c'était sûr! Je commençai donc à lire son dossier de long en large en tentant de voir quels étaient ses autres noms, pour quelles sortes de méfaits était-il reconnu et surtout découvrir ses féquentations. Il devrait s'agir de ritals comme lui, et plus il y aura d'arrestations d'italiens, mieux la ville se portera. À la suite du casier judiciaire, il y avait même quelques informations telles que la marque de sa voiture, l'endroit ou je pourrais trouver son yacht ainsi que sa résidence secondaire, une villa située dans les milieux riches de Las Vegas. Ça, une résidence secondaire!? J'avais à peine les moyens de me payer un appartement, c'était pour dire! Une fois le dossier terminé, je le fermai et remarquai aussitot un petit mot du commissaire, qui semblait l'avoir mis la pour que je le lise apres l'examen du document. C'est qu'il était futé, le commissaire! pensais-je en lisant ces quelques lignes; il ne voulait pas que je devine ma mission du jour - bien qu'elle était évidente - qui était d'espionner Manzoni, suivre tous ses faits et gestes durant toute la journée - voire plus - et tenter de savoir plus de choses que l'homme qui avait pris ces pris ces photos - qui était pour l'instant toujours inconnu, heureusement pour sa vie. Sans chercher à m'attarder plus longtemps, je remis mon manteau et quittai mon bureau, clés de la voiture de patrouille en main et dossier du Don sous le bras. Et, pour la première fois de la matinée - et non pas la dernière -, je me dis que cette journée n'allait vraiment pas être de tout repos.
J'avais déjà poursuivi en filature plusieurs personnes tristement célèbres, pensai-je en buvant ma xième gorgée de café dans 'ma' voiture, mais pas du calibre d'un Don. La plupart du temps, les chefs de mafia restaient dans leur coin, ou sortaient sous de faux noms; c'était probablement ce que Manzoni avait fait, mais une information avait passé. Pauvre eux, cette information causera leur perte. J'allais prendre une autre gorgée de café lorsque je remarquai qu'elle était vide: je posai donc la tasse désormais inutile dans le porte-gobelet de la voiture de patrouille. Je la jetterais plus tard, le moment étant mal-choisi pour sortir immédiatement de la voiture. Je me trouvai en effet dans un parking sous-terrain, à plusieurs mètres de la fameuse voiture de Lorenzaccio. Toute la journée, j'ai dû suivre tous ses mouvement, ce qui n'était pas trop difficile en soi; le plus dur avait été de le trouver. Il avait plusieurs cachettes inédites ce Don! Finalement, j'avais reconnu sa voiture au moment ou j'allais abandonner. Le destin était bien fait, quand même; même en changeant la couleur de sa bagnole, c'était quand même une Ferrari et les Ferrari ne couraient pas les rues tant que ça, non? Après avoir suivi la trace de Manzoni quelques temps à travers les rues - je devais faire très attention puisque je conduisai une voiture de patrouille - il me mena vers quelques endroits par-ci par-là avant de finir sa course dans le parking. En chemin je pus même acheter un petit café à siroter en attendant son arrivée. C'était un peu dangereux, mais j'avais pris le risque et je n'avais pas à regretter mon choix, ce café était excellent. Je jetai un petit coup d'oeil à ma montre: ça faisait plusieurs minutes que Lorenzaccio était parti, le temps passait trop lentement à mon goût. Je décidai donc de simplement quitter ma voiture et me promenai un peu pour me dégourdir les jambes. Bien entendu, je ne quittai pas des yeux la fameuse Ferrari de Manzoni, et - probablement inconsciemment - je m'étais même approché de l'automobile.
« Puis-je vous aider, monsieur ? »
Aïe. Je n'avais pas besoin de me retourner pour savoir qui m'adressait la parole, mais je me tournai quand même. Le fameux Lorenzaccio Manzoni me parlait; il était seul, poli - mais étrangement, une sorte de menace planait dans sa voix - et assez possessif envers sa voiture. Mieux valait pour ma vie de ne pas trop l'approcher, je le sentais bien. Mais pourtant, je restai à la même distance de la caisse de Manzoni que tout à l'heure - c'est-à-dire à quelques pas à peine - et me contentai de lui sourire en le regardant bien dans les yeux, preuve qu'il ne me faisait pas peur malgré son manteau de fourrure et son rang de Don.
« Ma voiture vous attire-t-elle autant ? »
Tiens, il avait envie de discuter. Il s'était même nonchalamment accoté sur sa voiture - question de délimiter son territoire, ça semblait évident - et avait mis la main dans sa poche. J'ignorai ce qui se trouvait dans sa poche, mais je ne cherchai pas vraiment à le savoir.
"Quoi, vous parlez de ça? dis-je en montrant de la main la bagnole du Don. Je suis désolé de vous contredire, mais ce n'est pas une voiture qui se trouve là... Il s'agit en fait d'une totale merveille technologique que je ne peux voir que dans mes rêves; c'est beaucoup mieux qu'une simple voiture! J'ai toujours rêvé en avoir une comme ça, vous savez."
Sur ces mots, je me mis à la regarder de plus près, mais sans m'approcher physiquement: il devait y avoir une limite invisible entre mon corps et sa voiture pour éviter les ennuis.
"C'est simple, je n'ose même pas y toucher pour éviter qu'elle ne s'envole comme une illusion..." ajoutais-je d'un ton rêveur.
En réalité, je n'aimai pas trop les voitures et celle de Lorenzaccio me semblait trop voyante à mon goût. C'est juste que si je voulais toujours rester en vie, il fallait le flatter dans le sens du poil. Il restait juste à voir si j'avais réussi à toucher le point faible du Don italien ou non...
CODE : Ok! par ERM.
DES COMMENTAIRES SUR LE FORUM ? : Non, il est très bien comme il est^^
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 6:31 | |
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| | | Bryan Hartford Le Chasseur de Perfection
Nombre de messages : 257 Age : 32 Âge : 19 ans Date d'inscription : 13/02/2009
Because You Are You Culpabilité: (100/100) Crime: Tentative de viol sur une blonde Relationship ,,:
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 6:45 | |
| Merci^^
Je ne m'attendais pas du tout à une réponse aussi rapide XD | |
| | | Invité Invité
| | | | Parker B. DeAngelo
Nombre de messages : 443 Age : 30 Âge : 19 Ans Date d'inscription : 13/12/2008
Because You Are You Culpabilité: (10/100) Crime: Je me suis trouvée dans le mauvais endroit au mauvais moment... Relationship ,,:
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 15:48 | |
| Bienvenue!!!
(et un taré de plus un!!!^^) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 17:28 | |
| Bienvenue Y'a comme une vague de monde c'est bien |
| | | Sixtine T. Winters
girl you're such a fucking whore
Nombre de messages : 1228 Age : 31 Âge : 20 ans Date d'inscription : 15/11/2008
Because You Are You Culpabilité: (0/100) Crime: Haha, tous ! Relationship ,,:
| | | | Sixtine T. Winters
girl you're such a fucking whore
Nombre de messages : 1228 Age : 31 Âge : 20 ans Date d'inscription : 15/11/2008
Because You Are You Culpabilité: (0/100) Crime: Haha, tous ! Relationship ,,:
| | | | Bryan Hartford Le Chasseur de Perfection
Nombre de messages : 257 Age : 32 Âge : 19 ans Date d'inscription : 13/02/2009
Because You Are You Culpabilité: (100/100) Crime: Tentative de viol sur une blonde Relationship ,,:
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 18:41 | |
| Merci tout le moooonde! *voix téteuse et petits yeux brillants* Et pour le groupe, je verais plus Bryan dans "walking the wrong path" parce qu'il fait ça par choix, parce qu'il veut se venger et aussi parce qu'il ne compte pas arrêter de sitôt Tu imaginerais un groupe psécial pour mon Bry"? Ça ressemblerait à quoi? | |
| | | Sixtine T. Winters
girl you're such a fucking whore
Nombre de messages : 1228 Age : 31 Âge : 20 ans Date d'inscription : 15/11/2008
Because You Are You Culpabilité: (0/100) Crime: Haha, tous ! Relationship ,,:
| | | | Bryan Hartford Le Chasseur de Perfection
Nombre de messages : 257 Age : 32 Âge : 19 ans Date d'inscription : 13/02/2009
Because You Are You Culpabilité: (100/100) Crime: Tentative de viol sur une blonde Relationship ,,:
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 18:59 | |
| Oh ouiii, un fou! Surtout Jamie Bell, il est vraiment trognon quand il veut Pour la chambre, c'est déjà fait!^^ | |
| | | Vadim W. Atkins
Nombre de messages : 1999 Age : 31 Âge : 19 ans Date d'inscription : 13/12/2008
Because You Are You Culpabilité: (0/100) Crime: J'ai cramé ma maison. :D Relationship ,,:
| | | | James Stoner
Nombre de messages : 151 Age : 30 Âge : 19 Date d'inscription : 04/01/2009
Because You Are You Culpabilité: (10/100) Crime: Homicide Involontaire Relationship ,,:
| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford Ven 13 Fév - 19:24 | |
| Bienvenue | |
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| Sujet: Re: Bryan William Alexis Hartford | |
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| | | | Bryan William Alexis Hartford | |
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